Elle : « Haaaaaa ! Mais quelle horreur !

Mais qui êtes vous ? Je ne pense pas avoir le plaisir de vous connaître ...

Qu'est-ce que vous faites chez moi ? Comment êtes-vous entrés ici ? Qui vous a donné la permission ? Vous êtes ici chez moi...Je vous ordonne de sortir sur le champ !

Ho! doucement pas d'agressivité s'il vous plaît !

Allez oust, du balai ! Dehors !

Vous savez comment ça s'appelle ?... C'est une violation de domicile. Comment ça, vous ne voulez pas sortir ? Sortez ou j’appelle à l'aide !

Mais ma parole, en plus vous êtes deux ! Et celui-là, qui est-ce ? C'est... votre petit frère. Ha ! oui, effectivement, maintenant que vous le dites. Il est aussi moche que vous.

Haaaaaaaa ! Hé ! doucement hein... Qu'est ce que vous faites ? Mon intérieur ! Ne touchez pas à mon intérieur ! Bas les pattes petit monstre, tu entends ce que je te dis ?

Et toi, cesse de t’étaler sur mon beau canapé avec tes chaussures dégoûtantes !

C'est ça, faites comme chez vous, ne vous gênez surtout pas ! Ha non mais c'est pas vrai, qu'est que c'est que toutes ces taches sur mes murs ?? C'est un désastre je ne reconnais plus ma maison !

(Désespérée) Pourquoi faire ça chez moi ?  Pourquoi me faire ça à moi ?

Vous vous êtes certainement trompés !

Allez, on oublie tout, vous repartez d'où vous venez tous les deux et pour le désordre on dira que ce n'est pas grave... hein... je m'occupe de tout, on fait comme si il ne s'était rien passé.

Hein ? Quoi ? Qu'est ce que vous dites ? Vous comptez rester... ici... chez moi ?

Impossible, j’ai yoga dans dix minutes !

Mon dieu mais quelle horreur ! »

 

La narratrice :

« Mais puisqu'elle vous dit que ce n'est pas possible ! Ce n'est pas du tout ce qu’elle avait prévu !

C’est terrible de s’incruster comme cela... »

 

Elle : « De toute façon, c'est incompatible avec la vie que je mène. »